Mercato : Cristiano Ronaldo va-t-il rejoindre le FC Barcelone ?
Absent pour la reprise des entraînements avec Manchester United pour « motifs personnels », Cristiano Ronaldo sème le doute sur son avenir. Les journalistes de Radio Marca se sont penchés sur son cas.
Nuno Luz, journaliste portugais, a répondu à l’appel de Radio Marca pour analyser l’avenir de Cristiano Ronaldo, qui pourrait se trouver loin d’Old Trafford.
« Cristiano n’est pas très heureux à Manchester United et il veut partir, il veut trouver une solution. Nous verrons ce qui va se passer. En football, lorsque vous n’êtes pas heureux dans un endroit, vous essayez de chercher une solution. Mais ça ne va pas être facile », a d’abord expliqué le journaliste. « Ça ne va pas être facile parce qu’il n’est pas facile de trouver de la place pour Cristiano Ronaldo, il n’y a pas beaucoup d’équipes qui ont les conditions financières pour le signer ».
Joan Laporta et Jorge Mendes discutent actuellement de la possibilité du transfert de Cristiano Ronaldo au FC Barcelona. @diarioas 🇵🇹
— Actualité – Barça (@ActualiteBarca) July 4, 2022
Sur les options que l’ancien joueur du Real Madrid a sur la table, Nuno a été clair : « Le Real Madrid ne le veut pas et le FC Barcelone pourrait être la dernière possibilité. Nous devons regarder les clubs avec lesquels Jorge Mendes a plus de contacts et il ne faut pas non plus oublier l’Atlético de Madrid », a-t-il ajouté.
« S’il veut quitter Manchester United, le facteur économique ne doit pas être la chose la plus importante, mais la moins importante », affirme le journaliste à propos des aspirations que pourrait avoir le Portugais.
« C’est encore un peu tôt. Il s’entraîne ici à Lisbonne pour le moment, mais nous verrons ce qui va se passer. Cristiano devra aller là où Mendes lui trouve une solution, car il n’y a pas beaucoup de clubs qui ont cette capacité. Et il faut que ce soit un club qui joue la Ligue des champions, avec une capacité financière, que ce soit un club compétitif.. À voir si un joueur part et libère une place. Aujourd’hui, on peut dire que c’est impossible, mais dans une semaine, ça ne le sera peut-être plus ».