« J’ai probablement fait partie de l’un des meilleurs Real Madrid de l’histoire, si ce n’est le meilleur »
Le Real Madrid est l’une des prestigieuses équipes de football mondial depuis des lustres, et être un athlète de ce dernier a toujours été un motif de fierté énorme. Personne ne peut nier la puissance de l’incontestable du maillot blanc et ce n’est pas au défenseur espagnol Dani Carvajal d’en dire le contraire. Étant obnubilé par l’envie de laisser des traces éternelles au Real Madrid, le latéral merengue reste conscient que le plus dur a sûrement déjà été fait en remportant cinq League de Champions avec le club de Florentino Perez.
« C’est une folie. Ça semble être quelque chose d’impossible à refaire, et je dis toujours qu’avec le temps, j’apprécierai beaucoup plus ce que nous avons accompli», a dit Dani Carvajal interviewé par Jorge Valdano dans son émission Univers Valdano.
Pour Dani Carvajal, le parcours de l’équipe madrilène reste atypique et classe la génération dans la casse dorée du club sans le moindre doute. « Parfois, je pense à quel point j’en suis heureux et fier, j’ai probablement fait partie de l’un des meilleurs Real Madrid de l’histoire, si ce n’est le meilleur», a-t-il dit.
La magie madrilène force l’exécution d’un travail remarquable dans le chef de la carrière de Dani Carvajal. Le latéral madrilène voudrait enrichirir son tableau avec le Real Madrid dans l’espoir de devenir l’un des plus grands latéraux du club blanc. Le joueur espagnol se retrouve donc face à ses responsabilités dans une équipe avec une légende déjà écrite il y a belle lurette. Écrire l’histoire et prendre la direction de la retraite seraient une pillule amère pour le défenseur.
« J’aimerais que le jour de mon départ, je reste dans les mémoires comme l’un des meilleurs latéraux jamais passés ici. Le temps me fera voir tout ça en perspective. J’ai de nombreuses années de contrat et j’espère pouvoir prendre ma retraite ici. Être à Madrid est la plus grande chose pour un footballeur, et je pense que le moment de quitter le club doit être l’un des plus difficiles. Ce n’est pas seulement ce qu’est l’Espagne, Madrid… c’est la dimension que ça a, aller dans un stade et le remplir, arriver dans un hôtel où des centaines de personnes vous accueillent…», a-t-il lâché.
RéalMadrid24